La promesse de l’aube (2017)
Film de Eric Barbier, d’après l’œuvre autobiographique de Romain Gary (1960)
Replonger dans ce destin incroyable, qui aura résonné en moi plus jeune et qui sonne encore plus fort aujourd’hui.
Quel destin, vie et mort romanesques. Si fort d’une puissance maternelle bouleversant tout sur son chemin, même les lois naturelles.
Pour une écriture du français féroce, affranchie…
Retrouver le génie en soi, la confiance dans la réussite.
Le rêve d’une femme, d’une mère, une promesse tenue et l’absence pour seul témoin.
Je suis chamboulée devant tant d’audace, d’ambition et de conviction sans faille. Elle a un prix, mais elle n’a fait que faire redoubler l’amour d’un fils pour sa mère. “Je ne sais pas si c’est permis d’aimer autant”.
Et puis cette phrase. Celle sur toutes les femmes qu’il aura rencontrées, qui l’auront serré sur le cœur et embrassé de leurs tendres lèvres. Leur amour ne sera jamais plus que des condoléances.